Le bulletin d’information « La voix des sages-femmes  » de septembre 2025 vient de paraître.

Septembre est un mois clé pour faire progresser la santé et les droits sexuels et reproductifs (SDSR), marqué par la Journée mondiale de la contraception et la Journée internationale de l’avortement sans risque. Partout dans le monde, les sages-femmes sont à l’avant-garde de ce travail : elles dispensent des soins fondés sur les droits, remettent en question la stigmatisation et veillent à ce que les femmes et les personnes de genres divers puissent faire des choix éclairés en matière de santé.

Le numéro « La voix des sages-femmes » de septembre 2025, reflète ce mouvement mondial allant des sages-femmes au Pakistan fournissant des soins post-avortement sûrs, en passant par le plaidoyer des étudiants en Croatie pour faire progresser l’éducation sexuelle, les sages-femmes en Sierra Leone et en Nouvelle-Zélande renforçant l’accès à la planification familiale et aux soins d’avortement. Il met également en évidence les obstacles juridiques et politiques qui continuent d’ébranler l’autonomie des femmes et les innovations que les sages-femmes apportent pour les surmonter.

C’est avec fierté que la SFMa annonce que ce mois-ci l’ICM a commencé avec des actions. Elle a co-organisé une réunion mondiale en collaboration avec l’OMS/HRP et la FIGO, dans le cadre de l’initiative Collaborate for Women : Abortion and Contraception Care Together (C4W) [Collaborer pour les femmes : soins conjoints en matière d’avortement et de contraception]. L’événement a réuni des groupes de travail nationaux et des partenaires mondiaux en matière de SSR pour partager leurs expériences et leurs apprentissages, en s’appuyant sur le travail de cinq groupes de travail nationaux axés sur le renforcement de l’éducation préalable au service, l’amélioration des réseaux de soins et l’optimisation de la main-d’œuvre en matière de SSR, en particulier dans les domaines de la planification familiale (PF) et des soins d’avortement complets. Les personnes participantes ont exploré l’impact des normes sociales, de l’inégalité de genre, de la stigmatisation et des hiérarchies professionnelles sur l’autonomie des femmes et leur influence sur les facteurs critiques du comportement des prestataires dans la fourniture de soins de SDSR fondés sur les droits et fondés sur des données probantes.

Lire l’édition de La Voix des Sages-femmes Septembre 2025 dont les chapitres :

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